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Théâtre populaire romand
La Chaux-de-Fonds
Centre neuchâtelois des arts vivants

Carmen Souza

je. 13 novembre 2014, 20h15

A L’Heure bleue

En collaboration avec Les Murs du Son

 

«Le créole est la langue mère du Cap-Vert. Pour moi, c’est comme mon quatrième instrument». Carmen Souza

Phénomène émergeant de la scène jazz — musiques du monde, Carmen Souza déploie sa voix et ses racines en toute liberté. Auteure, compositrice, interprète, cette artiste magnifique revisite d’une manière complètement inédite la musique du Cap-Vert, y mêlant aussi bien les sonorités du jazz contemporain que les rythmes de la musique africaine. Et puis il y a cette voix, très pure, qui tantôt se fait caressante, tantôt s’encanaille, toujours avec le même panache, la même virtuosité. Et aussi cette joie formidable de la musique, qui soulève son public à chacune de ses apparitions.

Née en 1981 à Lisbonne, Carmen Souza a grandi dans une famille très attachée à ses origines cap-verdiennes. Adolescente, elle est chanteuse professionnelle au sein d’une chorale gospel lusophone. Au carrefour des cultures et des langues, elle considère la musique comme une mission et le créole, la langue du Cap-Vert, comme un instrument de musique à part entière.

Son premier album, «Ess ê nha Cabo Verde», élaboré avec son bassiste et mentor Theo Pas’cal, sort en 2005 et signe le début de sa carrière internationale. Les suivants seront encensés par la critique. On la compare à Billie Holiday, Ella Fitzgerald, Nina Simone. Et bien sûr à Cesaria Evoria, la voix du Cap-Vert.

Inclassable, Carmen Souza transcende les frontières et les genres.

 

Dossier de presse

Chant, guitare, piano
et Wurlitzer
Carmen Souza

Piano
Ben Burell

Contrebasse et basse
Theo Pas’cal

Batterie et percussion
Eliaz Kacomanolis

L’album Carmen Souza Live at
Lagny Jazz Festival est édité
par Galileo / Harmonia Mundi

info@tpr.ch